Ma femme est folle de sex

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Nous n'avons plus qu'une solution, essayer de changer de partenaire, ici, Dessuite. Elle ne se sert que de ses lèvres pour engamer ma bite: elle dégage mon gland et se sert au début au moins de ses lèvres comme de son con. J'entends les petits cris de jouissance d'Héliette: elle se fait enculer aussi. Je me demande jusqu'où elle peut aller. Elle recommence toutes les fois que nous baisons.

Lorsque j'ai rencontré Héliette, elle avait à peine 17 ans, déjà très bien foutue et assez salope: c'est elle qui me drague, alors que j'avais plus de 25 ans à l'époque. Sa technique était très simple: en montrer le plus possible et surtout le faire remarquer à sa cible qui en l'occurrence était bibi. J'avoue que j'ai cédé rapidement: elle était si sexy. Notre relation a duré puisque nous sommes mariés depuis maintenant presque 10 ans. Nous baisons depuis le début, d'abord à la mesure de ses moyens d'imagination et au fur et à mesure de ses envies montantes nous nous relâchons presque totalement: Elle savait se masturber mais n'osait pas le faire devant moi, jusqu'au moment où je le lui demandais. Je me souviens encore de cette première fois: nous faisons l'amour et avant de la sucer je lui demandais de se mettre les doigts sur son con. Je lui faisait remarquer que je bandais plus fort. J'ajoutais que si elle le voulais je pouvais moi aussi me branler devant elle. Elle me le demandait et je m'exécutais, ma main allait et venait sur ma tige bien droite. Elle était toute heureuse de vois mon sperme jaillir grâce à ma main. Un peu plus tard je voulais la lui mettre au cul. Au début, elle ne voulait toujours pas: j'ai du la forcer un peu. Je lui mouillais le cul avec ma salive et posait sur son petit trou ma queue bien dure. Elle se crispait au maximum. Je la tranquillisais comme je pouvais. Quand enfin je poussais pour l'enculer. Je sentais son sphincter resserré et mon gland qui lui entrer dans son anus. Elle ne disait rien, jusqu'au moment où enfin elle me demandait de continuer. Elle prenait goût à la sodomie. Je lui achète un godemiché qu'elle veut essayer immédiatement. Elle se déshabille et nue sur le divan du séjour elle écarte les jambes et elle se baise toute seule. Elle jouit grâce à cette nouveauté. Elle ne veut pas arrêter encore. Comme je bande, je suis sur le point de me branler. Elle me fait une fellation. Pour elle c'est une faveur qu'elle me donne pratiquement à chaque baise. Elle ne se sert que de ses lèvres pour engamer ma bite: elle dégage mon gland et se sert au début au moins de ses lèvres comme de son con. Enfin sa langue se met de la partie: elle me lèche le gland lentement. Elle sait bien sucer, elle l'a appris toute seule, mais a retenu les réactions que j'avais au fur et à mesure de son apprentissage. Je la vois agiter le gode dans son con et surtout quand elle l'enlève pour se le mettre au cul. Je jouis dans sa bouche. Elle avale le tout. Et enfin, elle arrête: elle a bien jouit. Le soir, au lit elle a l'idée de me demande de l'enculer pendant qu'elle a le gode dans la chatte. Elle jouit tellement qu'elle pousse des petits cris. Elle recommence toutes les fois que nous baisons. Petit à petit, elle commence à devenir de plus en plus exigeante: pour jouir, n'importe quel prétexte est bon. Nous partons en voiture, elle ne met pas de slip pour se branler en route, particulièrement dans la traversée des villes où elle peux être vue. Je me demande jusqu'où elle peut aller. Prendre un amant: elle m'en parlerait, avoir une amie, elle voudrait la partager. Nous avons des amis qui viennent nous voir chaque semaine et chez qui nous allons aussi souvent. Je m'ouvre au copain et lui demande se qu'il ferait à ma place. Il a le même problème. Nous n'avons plus qu'une solution, essayer de changer de partenaire, ici, Dessuite. Je sais qu'Héliette ne lui déplait pas. La sienne est aussi sexy que la mienne. Après tout pourquoi ne pas essayer. Aussi il se met à flirter avec ma femme qui, étonnée au début, le laisse faire, flattée de cette conquête. Oh, il ne vont pas bien loin. Héliette commence être excitée, je le sais par son regard plus briant. La connaissant elle ne va pas résister longtemps à l'appel du sexe. Notre ami pousse encore plus loin ses pions: il lui caresse les seins. Elle se laisse faire. Quand il lui met la :main au panier, directement elle écarte simplement les jambes. Pour ma part je ne reste pas longtemps immobile avec notre amie. Je l'embrase profondément, sa main vient autour de mon cou,pour profiter encore plus de ma langue et me prend une main pour la poser directement sur son bas ventre. L'invitation est faite dans les règles: caresse moi le con. Je trouve très vite son bouton et je le caresse longuement et très lentement. Je ne vais pas assez vite à son gré; elle me prend la main et m'oblige à aller plus vie, jusqu'à ce qu'elle jouisse. Elle ne jouit pas comme Héliette qui pousse de petits cris, elle au contraire hurle véritablement. Son mari se tourne vers elle et lui demande si c'est comme avec lui: c'est meilleurs parce qu'elle le fait avec un autre devant lui, justement. C'est également ce que me dit Héliette qui demande pourquoi on n'a pas fait comme ça depuis longtemps. Je baise enfin l'amie qui a un con très accueillant: elle accompagne mes mouvements et y rajoute un petit supplément: je dois lui mettre deux doigts dans le cul en même temps. Je sens rien qu'au mouvements de son cul, qu'elle jouit plusieurs fois. Bien sur elle hurle toujours. Comme je n'ai pas encore jouis, je peux lui proposer une sodomie: elle aime beaucoup. Elle hurle encore une fois pendant que je jouis dans son anus. J'entends les petits cris de jouissance d'Héliette: elle se fait enculer aussi. Bientôt je jouis encore dans le cul de la femme de mon ami, ainsi que ce dernier. Nous débandons et toujours nus, nous échangeons qu'elles impressions sur nos épouses. Le résultat est qu'elles baisent aussi bien l'une que l'autre. Nous ne bavardons pas longtemps, les deux filles sont ensembles: elle s'embrassent longuement. L'ami est moi même sommes étonnés, c'est la première fois que nous les voyons avec une autre fille. Et pourtant on dirait qu'elles se connaissent depuis toujours. Elles sont assises l'une à coté de l'autre. Heliete reçoit sur une cuisse, la cuisse de l'autre et elle peuvent bien se branler. Héliette garde ses deux doigts réunis pour masturber mon amante et celle-ci ne lui pose qu'un seul doigt, mais en longueur. Le résultat c'est qu'elles se font jouir plusieurs fois. Les hommes n'existent pus pour elles, elles ont trouver un autre moyen de jouir et ne sans lassent pas. Enfin elle se positionnent en 69. Elle se mettent de telle façon que nous pouvons enfin participer en venant les enculer. Nous y rentons ensemble. Les deux tribades nous laissent faire et s'en régalent. Un peu plus tard, excités comme nous le sommes, nous prenons Héliette, moi par le con et lui par le cul: pour elle c'est le paradis. La femme du copain ne peux rester isolée à nous regarder faire: elle se branle encore. Héliette pousse plusieurs petits cris. Toujours bandant nous prenons cette fois l'amante et si son mari la baise, j'ai droit à son cul où je me trouve très bien. Elle hurle encore plusieurs fois. Finalement nous arrêtons cette baise qui nous a appris énormément de chose sur les facultés de nos épouses: elles ont l'amour dans le sang. Aussi nous décidons de recommencer deux fois par semaine. Lors de notre baise suivante Héliette avoue qu'elle a pris un plaisir extraordinaire avec la langue d'une autre femme sur son con et que de la branler l'avait très excitée. Heureusement que dans quelques jours elles pourront encore se sucer: elle aime trop le goût de ce con pour s'en passer. Je lui dit que moi aussi j'ai bien jouis avec le cul de notre amante. Je lui demande aussi si elle a aimé baiser avec notre ami: bien sur aussi bien qu'avec toi et en plus vos deux bites en même temps: c'était divin. Cette nuit a été très agitée: nous reproduisions ce que nous avions fait la veille. Inutile de dire que nous avons joui comme des fous.

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